mnsmus. 449 DRD W *|'l1J'Dî1 ¤"t1D173T ¤"l1DP '* LIP *hZ!!|'h 1J•fIl7|t m1h arm En Han ·m• ::;:11* P‘7i1 ¤n‘7 arwu wu: D`7’lD'| nynn aJ’ai appelé ce livre Yereim, car il prescrit à apprendre à craindre Dieu ; j’y ai fondé la loi de Dieu et l’ai placée sur sepg colonnes, je l’ai arrangée en colonnes; qui d'entre elles sont lon- gues et qui sont moindres; toutes sont préparées et propres à ce que le créateur de tout, le Dieu suprême devienne le partage de Jacob. Les 158= et 164= préceptes manquent; ils ont été ajoutés à la ün du volume, par une main étrangère; sur des feuilles en surplus qui précèdent la Préface, on a mis une table très—utile énonçant, par ordre numérique, les 444 préceptes de Youvrage. Il y a beaucoup de fautes d`écriture. Benjamin-ben-Abraham a fait un extrait de l'ouvrage d‘Éliézer, en en cbangeantentièrement la disposition et laissant le titre Cltlht 'tbb Sepher Yereim. Cet extrait a été imprimé à Venise en 1566 et réimprimé à Zollrievr en 1804. _ · On ne connalt pas la date de la naissance d‘Éliézer, et on u’a aucun renseignement sur sa manière de vivre; il est élève de Tam et précepteur du rabbi Samuel de Bamberg, qui professait en 1220. Profond talmudiste, Éliézer est cité pour les Tosafat (niv, 36 a 66 a '|•L71î1. 110. 6.) (1); il acomposé lui·méme des Tosafat, et écrit un commentaire sur ¤*'1‘1J (Voir Zuuz. Zur- geschichte und litératur. Erster Band, p. 34. Berlin 1845) (2). Il a connu Raschi personnellement. Ainsi, dans la septième partie , article ]'*l7*Bnî1 'l'l¤, on lit ’*1¤' *£lD WHPBW (D1, je l’a£ entendu ainsi de la bouche de Raschi. L’ouvrage est terminé par cette plainte douloureusement pieuse: , ' u Béni soit le Créateur qui m’a aidé à finir ce livre, ce Sepher n Yereim; qu’il serve à ma mémoire; car, grande a été envers n moisa colère; tous mes enfants sont morts; et tout mon bon- 1> heur s‘en est allé avec eux; je suis restéseul et sans appui; (1) Metz a encore fourni un autre tosfatiste, nommé Iehoudah (J'0ma· 7 b), qui iiorisaait vers E50. (2) Ouvragtfune profonde érudition; h Pinatar de tous les écrivains îaraélites, toujours plaidant, le célèbre Rahiuoluguc écrit l’hiatoire avec le talent et`la lo- gique d'uu avocat. ° . Digilized ny Google
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