intrus. 35 lsnce·et : 't¤'¤¤'t Mm P1`? tm (t). La Synagogue vouscrie : paix et concorde à tous, à ceux qui lui sont restés Iidèies, comme i ceux qui Pallligent par leur éloignement: 'n wm :·g·ip’s·• pmb D'lsWUT’7U(2)· V<>¤¤ ws ¤¤ b¤•¤rt•=•+ ple, adnnabiement organisé pour la prière; nais siil devait eegtemps encore être la pierre d’achoppement de cette grande communauté, s’il devait encore servir d’di¤e¤t ou de prétexte à une scandaleuse agitation, ah! rendes·neus |’autique mesure, elle était noire de la poussière des siècles, mais ballade sa paix et de son unité! t't1lJ1 tit t't't'tt't‘¤(3). Et mieux valait cent fois la misère avec la concorde, qn’un pompeux étlücet av•c· la ' désunion : 311 *I'tZtI ttbl.1 IVZID, HJ ï|'t�¤1 l't31tt‘t nb 1'IN4). Oui, vous avez un beau temple; mais ce bois et ces pierres, dont les proportions savanment combinées formeutune si. nrerIeil• leuse architecture, qn‘était-ce dabord 7 Des troncs grossiers, des blocs informes, empilés au hasard dans les chantiers et au bord des carrières. Et quand un bois mort, une pierre brute et in- sensible ont pu se ranger sous les lois de l'harmonie et de l‘n· nité, hommes intelligents, créatures morales et libres, vous mé- connaitriez ces mêmes lois? Non, je ne saurais le croire. Car si I l’unité est nécessaire à tous, elle l'est surtout à Israël; si elle est nécessaire toujours, elle l'est surtout auj•urd'hui. Et vous, mes sœurs, car la Religion vous garde toujours une bonne parole et une bonne pensée; saintes et nobles femmes d’lsraêl, qui portez avecnous le poids du jour et qui soulïrez plus que nous de nos tristes débats, terminerai·je ce discours sans vous faire, à vous aussi, un affectueux appel? Vous ètes les anges de la paix ct les gardiens de ce sanctuaire qui se nomme la famille. Des biens et des maux qui se partagent notre vie,.vous ne vous ' êtes réservé qu’une part, la patience pour vous et la consolation pour les autres. Votre main délicate verse un baume sur nos blessures, adoucit les aspérités de nos cœurs, éteint nos haines et nos colères. Dieu, en vous donnant pour ¢ornpagnes·à:l'homme, a fait de vous en même temps ses propres auxiliaires et ses meile leurs interprètes ; car votre faiblesse vous rend si fortes, et votre douceur si invincibles, que vous gagnez toutes vos causes. So- condez-ncus donc aussi dans cette cause sacrée de la paix, dont vous êtes les défenseurs naturels ;. enseignes à vos fils, â.vos frè- res, à vos époux, cette humilité, cette résignation, cette mausué- tude et cette mutuelle indulgence quieEacent les collisions et fa- cilitent le bon accord. Vous ètes la providence du foyer, soyez-- (i) |s· al, e., (2) Ibid. 57, 19. (3) Cent. 1, 5. _ (4) Prov. l7, l. Digitized ny Google
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