582 ncnrvss _ rendre digne de rentrer un jour dans les rangs honorables de nos frères en religion. _ Daignez, monsieur le rédacteur, excuser cette longue lettre, et veuillez en publier ce que vous croirez convenable. .|`ai l'honneur de vous présenter Pexpression de ma considé- l ration la plus respectueuse. t it. A. t Détenu à la maison centrale de Nîmes (Gard). so mai tssz. LA PHILOSOPHIE CHEZ LES miss. t Nous venons de recevoir la lettre suivante : v Monsieur le rédacteur, Un passage de mon Discours d’ouverture u provoqué dans t » votre dernier numéro (p. 548) des observations auxquelles vous q vous associez en regrettant de n‘uvoir pas, dès le principe, fait vos réserves sur la ligne incriminée. Rassurez-vous, monsieur le rédacteur; il n’y avait pas la moindre réserve à faire, car loin d’exagérer la véritéje Tai considérablement atténuée. Pai dit que Yanathème de Ben—Ad§·etlt contre les études philosophiques était motivé sur ce qu’elles « menaçaient d'étoul’— fer_l’ortho¢lox·ie sous le scepticisme du libre examen. » Je n’aî nullement par là essayé de justi/Fer cette mesure, comme le dit votre correspondant; j'ai fait de l’histoire et voilà tout. Ce motif que vous contestez, sans toutefois en indiquer un autre, se trouve, nou-seulement dans les deux lettres que vous cites, mùdam la Consultation H4 qui les précède, et dans le second anathème qui les olit; il s'y trouve en tenues beaucoup plus vio- l¢¤l¤· lwonpagués d’imprécati0us horriijs contre ceux qui se
livoent un études philosophiques et eontn teurs écrits, quil
ouai mérürn de lttlier, ajoute-t-·il, le jaar menu du sabbat. Digitized ny Google L
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