unlsnss. 567 événement, on aœourra pour entendre un orateurcomme on ancourt pour entendre un grand artiste; on écoutera attentive- ment, et on sortira meilleur. _ S. Cum. — RÉCLAMATION· Monsieur le rédacteurs Une décision de l’administration du temple du rit Sephardi, publiée le samedi 5 juin, y supprime toutes les prérogations des . Cohanime. Je ne puis revenirde mon étonnement zoominentquel- ques membres laïcs, pen versés dans les matièresreligieuses, for· mant Fadministration, prennent une telle décision sans la faire d’abord sanctionner par l`autorité religieuse de M. le Grand- _ 'Ruhbin, et cela quand il s’agit d’abolir un commandement sacré de notre sainte loi qui ordonne aux Cohenime de donner dans le temple la bénédiction aux assistants l Tespère que l’autorité religieuse ne le permettra gm. J’ai bien l'honneur de vous saluer. I. Laon. Paris, 18 juin 1852. ' Le commandement dont parle notre correspondant est celui dont il est question, nombres 6, 22 à 27, et dont les observanoes sont détaillées Schoulchan arouch, t28 à 1 50. Tout en accordant que c’est là un précepte (RUP l1'l!’D), il n'en est pas moins vrai qu’il ne s'agit au fond que de ce qui se passait au temple de Jé- rusalem lors des sacrifices; comme on a déjà réduit l’exécution de ce précepte aux seuls jours de fête (encore faut-il que ces fêtes ne tombent pas un jour de sabbat, ear alors, quelques localités ex- Digilized ny Goqgle
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