` ii ncnim jeune homme avait commencé l`hébreu àquatre ans sans discon- tinuer jusqu'à sa seizième année. Après s’être assuré de l‘apti·· tude de ce candidat dans toutes les branches de Yenseignement primaire, ou allait procéder à l’examen de l`héhreu; on lui pré- sente le premier mot de la Genèse, il traduit Braiïschiss, aueom- mencement; on l'invite à indiquer dans le mot hébreu les élé- ments correspondants à l`expression française. Rien de plus simple, dit-il : Braï, au, Schiss, commencement. Interrogé sur le nombre de syllabes contenu dans le même mot, il en accuse trois! Ce jeune homme avait cependant reçu pendant douze ans une leçon d‘une heure par jour; en réduisant les jours de classe au minimum de deux cent cinquante par an. voilà trois mille leçons! trois mille heures qui auraient pu étre employées lructueusemeui à tant de choses utiles ! , Etqu’on ne se rejette pas sur les difficultés de la langue hé- braïque, nous n'en sommes qu`aux premiers éléments, et si nous ne nous étions fait une loi de ne citer aucun nom propre nous signalerions, même dans la Lorraine et l’A|sace, des écoles où les enfants analysent l'hébreu avec facilité et répondent à toutes les questions de la grammaire élémentaire; honneur à leurs di- recteurs ! (La suite au prochain numéro). Gnnsou Lsvv. Délégué cantonal.
Mnaaneiss. , L'EAU DE J ALOUSIE. LÉGBIIDE BABBINIQUL · l. _ '_ Détours falladeux, ` Ténébreux artlllcel ` I Du souverain des cieux È._ Rien ne surprend Pineifnble jusllee. li Couple slmable et comblé des dons les plus heureux, ` Qu'! ses plus chers enfants le elel donne en partage, Blhnsnetïhsmarltousleseœunpleux , il l ;_ I .t· Is
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