rsnhsns. 107 dn eonsdl général, na secours de 250 francs de ll. le ministre de Plntérieur, entin on remarque quelques pensions d’élèves payées par des parents aisés. La catégorie des dons volontaires se compose de dons en ar- gent, dont le plus élevé est celui de 300 francs envoyé par un anonyme, et de dons en nature. Les souscriptions annuelles proviennent de 45 localité; dont A 5 seulement n'appartiennent point à l’Alsaœ, et qui sont Paris, _ Lyon, Metz, Soissons, Francfort-sur-le-Ilein : le chillre le plus élevé des souscriptions est naturellement celui de Strasbourg, qui forme à lui seul plus de la moitié du chillre total : dans la plu- part des localités alsaciennes où il y a des souscripteurs, il y a une souscription au nom de la communauté elle·méme. Onrremarque un assez grand nombre de non israélites parmi les souscripteurs , et en particulier des fonctionnaires publics , des i professeurs de l’Université, quelques membres du conseil géné- ral et trois anciens députés, plusieurs ecclésiastiques catholiques et protestants, enlin , quelques-uns des souscripteurs de l’école · du travail de Mulhouse. Nous avons lu surtout avec intérêt, dans cette liste , les noms ` (hélas! trop peu nombreux) de deux anciens élèves de l‘école, au- jonrd‘hui établis et dans une situation relativement bonne, et qui rendent, dans la mesure de leurs moyens , i Pétablissemeut qui les a formés, un intéret dont ils ont enx—mèmes reçu les marques touchantes : les deux personnes dont nous parlons , dont l‘unc exerce la profession de lleuriste et l’autre celle de graveur, méri- tent d’être signalées avec éloge : il est seulement regrettable qu’a- I près une existence relativement assez longue, l’établissement ne l reçoive encore que de deux de ses nourrissons cette marque si p légitime de sympathie. Nous ne terminerons pas ce rapide aperçu sans rendre un hom-, mage particulier aux honorables membres du bureau de l‘école, 0 qui consacrent au maintien et à la bonne organisation de l’éta- t blissement , non-seulement leur argent, mais leur temps : nous 0 devons également des éloges au rédacteur du compte-rendu qui a su , avec une élégante sobriété et une précision remarquable, rendre juequ’aux cbilres intéressants, parler de tout avec tact et · l
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