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CULTE. QILQUIU VUE! Il LA NATURE ET L’0RGAllSA`l'l0lI DU svnsisn. Les préoeènpationsgêngêrsles qui surgîsslnt pour chacun dans ces temps d’éprsuve paraissent avoir réagi sur le iudslusue fram- çais: là, une sorte de tràve semble taoitemsnt ceuolue outre Fin- novation et le statu quo, et la nécessité de réuistlu i Veuneü commun du dehorsa fait mettre au second phi les projets de réorganisation intérieure et d’smélior¤tion liturgique: esstcs, ee qu’il faut avant tout sauvegarder, ce sont nos dreltscisils et les principes sur lesquels ils s'appnieut; mais en punpsend que os ralentissement dela polémique ne saurait étre de longue duués, malgré la crise qui en est l’0rigine : au loud, Tobjet sérieux fuite · religion est moinsla défense des intérêts terrestresds ses tueus- bres que le perfectionnement intérieur de ses adhérents : ru- mcner à Dieu le plus d'â.mes possible, apluuir la mouse qui y een- duit, snvironner la vie de l‘homme de remparts indestructibles contre les erreurs où il peut tomber à chutlue ilstsut, voilà kt tâche et le but : lui rappeler constamment son origine, su failli- hilité, sa dépendance et sa lin, semer à clnque pas sursu route les plus salutaires avertissements, voilà ls moyeu. De là, une double condition imposée à tout développement religieux : d’une part, éclairer l’homm• sur su uutulu et le cou- tenir'en Pélevant, de l’autre, attacher si pensée et son cœur à . des habitudes, à des lois, à des pratiques qui- l·0l`DlI0|l¢ aussi sûrement que possible les irrésolutious etles défaillances sut- quelles il est enclin, qui Pempéchent de .8’éU·TUi` du but tillî lui est prescrit. ` s La première de ces deux conditions ne peut âtsosenpliu tpe parle monothéisms : seul, le monotbéisrus établit eutasilmesét- _ mrs et le créateur la diversité nécesa¤irestess·q • la pmlièm ' 5 Digitized ny Google
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