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nsnstwrss. It idées nouvelles, qui nous entraînent bon gré, mal gré; et qui font que notre monde religieux, poussé vers un but occulte, que Dieu seul connait, ne compte plus, quoi qu’on dise et quoi qu'o| fasse, que des traînards et des impatients, mais point de partis rétrogrades! Aujourdhui, les fautes du passé trouvent leur holocauste ex- piatoire dans le doute et les angoisses du présent". lfavenir, c’est le vrai!... c‘est le bienl... c’est la terre pl'0• I mise !... Je termine enfin, Monsieur le Rédacteur, cette longue digres· g sion, - déplacée ici peut-être , — en vous signalant combien on espère avec conliance, dans notre circonscription, dans le bon Hr prit de nos membres du Consistolre et dans Pélévation de leurs sentiments et de leur zèle éprouvé. J. Vmu.; Marseille, le t7 décembre l85l. LA CONCORDE. Sermon prononcé au temple eonsistorial de Metz la veille de Kippour 56l2 (5 octobre 1851 Per M. L. Wocus, professeur à l’éeole Centrale rnbbiniqne. - !'t|'l* DJ ¤*|'lR niv, W9! I'l¤’t Bit! HD ml'! .¤LI’t9fI 117 ¤"|'l, HZIWJH HN 'ït H1! DU *3 s Qnelledouce et bonne chose que l‘nnion frsternelIel... n Elle est bénie du Seigneur, et ss durée est impériusble. s Ps. I33, Hi. _ les chers frères, A |’aspect de cette immense assemblée réunie pour rendre un · solennel hommage au Dieu d’|sraël etdu monde, en ce jour où la religion tient ses assises et s'apprête à nous juger tous, le fidèle ne peut se défendre d‘une émotion profonde; l'indill`érentetl'in· crédule sentent avec étonnement qu‘un cœur religieux, un cœur israélite bat encore dans leur poitrine; et l’étranger lui·mème, lnbitué aux pompes d'un autre culte, est frappé du spectacle Digitized ny Google