til · air- s la porte (justice) vers les anciens et dira: lion bean·frère re- sine deconssrver àsentrèreuu nom en Israël, il neventpn » m’épouser par droit du lésitat. Les anciens de la ville le feront n appeler et ils lui parleront. S‘il se présente et dit : Je n’ai pas » envie de la prendre , sa bel|e·sœur s‘approchera de lui, aux n yeux des anciens et lui. tirera sa chaussure du pied et lui cra- n chera â la figure, elle reprendra et dira : Ainsi est fait à l’homme » qui n’édi|ie pas la maison de son frère, et son nom sera appelé n en Israël la maison de la chaussure tirée. » Voyons d’abor¢l le but de cette loi, cette recherche nous mettra en étatd`en mieux pénétrer le sens. Quant au but de la loi il nous est facile de le comprendre, le lb gislateur Payant clairement indiqué en donnant la loi surle lési- rat. Il est dit distinctement que si quelqu`un meurt sans lait! un tits (t), son frere est obligé d’épouser sa veuve, aünqne leü aîné, issu de ce mariage, perte le nom de son frère mort, et que son nom soit conservé en lsrnêl, lequel sans cela en serait elîaeé. 0n voit par plusieurs expressions dela Bible quelle importance les anciens hébreux attacbaient à procréer et à laisser à leur mort des enfants, c’est—à-dire des lils qui passent perpétuer dans h postérité le nom et le souvenir dn père, et l’on regardait conne leplus grand malheur d’un père de famille israélite de vivre en mariage stérile ou de voir ses enfants mourir avant lui. Ultistoire des patriarches fournit de cela des preuves suiîsantes. Mais il ae manifeste aussi en général dans la nature de l’bo•nme un désir ds se survivre et de continuer de vivre même après sa mort dan ceux i qui on a donné le jour. Chez l’0riental ce sentiment et ce désir sont généralement plus forts et devaient être plus vifs encore chez les anciens hébreux, parce que leurs idées de Pexistenco après la mort et leurs espérances d‘une vie future et meilleure étaient encore très-obscures et tres-cbancelantes. (fêtait donc un devoir de piété tiliale de chercher à perpétuer le nom et le souve- nir de son frere mort sans enfants ou plutot sans lils, en épousmt lavenvc eten eensidérantle premier né issude ce mariageeenme (I) L•Talinud dit â la vérité que Foblîgation du frêne survivant eaclglo ldqn-lI|ynnn•$,¤nine’¤teontrehlettreetcentrnPe•pritd•hl•i Digitized ny Google
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