nsnatasas. 129 huhu sun us nùvmr ax LA chünoma nrrn ’Halü:u. (m:•'7m uw)- (Snite. — Voirnumérodu 3 levier, p. 63.) I F Avant de passer au développement des principes posés plus haut, examinons d’abord la loi mosaïque d‘après son contenu complet, et cela surtout parce que le Talmud, dans I'explicatiou qu’il en donne, détoume plusieurs expressions de cette loi de leur sens clair, et que plusieurs personnes qui s’en tiennent, ici et dans d’autres circonstances, uniquement aux explicatiouset sentences talmudiques, perdent de vue le sens de la Bible qui leur échappe complétement; de telle sorte que souvent ils ne sa- ` vent plus ce que Moise a dit, mais seulement quelle est l’opiuion du Talmud et des rabbins. lais comme c’est une des règles her- méneutiques les plus importantes de prendre les paroles de la sainte Écriture dans le sens le plus rigoureux et d’après leur si- gnilieation la plus naturelle et la plus simple, il faut encore plus s’attacherà cette règle quand il s‘agit de lois qui influent puis- samment sur la vie, quand il s’agit de la vie temporelle- et éter- nelle de ceux à qui cette loi est imposée. C’est en pareille ma- tière que l’on doit s‘atteudre avant tout à trouver le langage du législateur clair et précis; c’est ici surtout qu’il faut appliquer la règle de ne prendre ses paroles que comme il les a exprimées et p comme elles sont claires devant nous. Voici la loi (Deut., xxv, 5, l0) : a Quand deux frères demeureront ensemble et que l’un meurt s sans laisser de tils, la femme du mort ne sera pas (l`épouse), au s dehors, d‘un étranger; son beau·frére viendra vers elle et la s prendra pour femme et cousominera le lévirat. Le premier·né s qu‘elle enlantera portera le nom du frère mort, alin que son s nom ne soit pas effacé d’lsraël. Isis si est homme n’a pas envie s de prendre sa belle·sœur pour femme, sabelle-sœur montera à. Digitized ny Google
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