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SUR L’ÉTAT THERMOMÉTRIQUE

  degré.
À Bénarès (Asie, no 20)
44.6
À Pondichéry (Asie, no 32), observations de Le Gentil
44.7
À Tunis (Afrique, no 2)
44.7
À Antongil (Madagascar) (Afrique, no 30), d’après Le Gentil
45.0
Sur le plateau de Peschavour, d’après Elphinstone
45.0
À Manille (Archipel, no 2)
45.3
À Bassora (Asie, no 11), d’après de Beauchamp
45.3
À Sydney (Archipel, no 8)
45.6
À Seringapatam, à 735 mètres d’altitude (Asie, no 10)
46.1
À Mascate (Asie, no 21), d’après Ruschenberger
46.1
En Nubie (Afrique, no 23), d’après Russegger
46.2
À Ain Dize (Égypte), d’après Browne
46.7
À Ambukol (Afrique, no 19), d’après Rüppell
46.9
À Esné (Afrique, no 16), d’après Burckhardt
47.4
À Chendi (Afrique, no 20), d’après Bruce
48.3
À Bagdad (Asie, no 143)
48.9
À Bir-el-Barut (Arabie), (Asie, no 26), d’après Tamisier
50.0
Près de Suez (Afrique, no 13), expédition française d’Égypte
52.5
À Abou-Arich (Arabie) (Asie, no 97), d’après Tamisier
52.5
Près du port Macquarie (Archipel, no 26)
53.9
Près de Syène (Afrique, no 17)
54.0
À Mursouk (Afrique, no 15), d’après Lyon et Ritchie
56.2

Lorsque pour la première fois, en 1824, je m’occupai, dans l’Annuaire du bureau des longitudes, de la question de savoir quelles étaient les plus hautes températures rencontrées en divers points du globe, je m’étonnai à bon droit des nombres donnés par Le Gentil, pour Pondichéry et Antongil. Je m’exprimai alors en ces termes : « Les résultats que Le Gentil a obtenus surpassent trop ceux de tous les autres voyageurs, pour qu’il ne vienne pas à la pensée que le thermomètre de cet académicien était en erreur de 3 ou 4 degrés ; mais je ne trouve point,