santés, et une série pareille de températures décrois, santés. Chaque jour aura sa température invariable. Sous chaque parallèle détermine", les jours de maximum et de minimum de chaleur seront respectivement les Il’ mêmes.
Cet ordre régulier et hypothétique est troublé par la mobilité de l’atmosphère par des nuages plus ou moins étendus, plus ou moins persistants ; par les propriétés diverses du sol. De là, des élévations ou des dépressions de la chaleur normale des jours, des mois et des années. Les perturbations n’agissant pas de même en chaque lieu, on peut s’attendre à voir les chiffres primitifs différemment modifiés à trouver des inégalités comparatives de température là où, par la nature des choses, la plus parfaite égalité semblait de rigueur.
Rien n’est plus propre à faire ressortir l’étendue de ces causes perturbatrices combinées, que la comparaison des époques moyennes où se manifestent les températures maxima et minima dans divers lieux.
Voici quelques résultats :
Saint-Gothard
(10 années). |
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11 août. 24 décembre. |
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51 et 3 jours après
le solstice. |
Rome
(10 années). |
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6 août. 8 janvier…… |
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46 et 18 jours après
le solstice. |
Iéna
(18 années). |
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1er août. 3 janvier…… |
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41 et 14 jours après
le solstice. |
Pétersbourg
(10 années). |
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22 juill. 8 janvier…… |
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31 et 18 jours après
le solstice. |
Paris
(21 années). |
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15 juill. 14 janvier…… |
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25 et 25 jours après
le solstice. |
