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CHAPITRE V. — Examen des diverses objections qu’on a faites contre l’enceinte continue. — Les adversaires de cette enceinte invoquent à tort l’opinion de Napoléon, l’opinion de la commission de défense du royaume et celle du comité des fortifications
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CHAPITRE VI. — L’immense développement de l’enceinte continue est un élément de force au lieu d’être une cause de faiblesse. — Avec une enceinte bastionnée Paris est imprenable
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CHAPITRE VII. — De la possibilité de beaucoup ajouter à la puissance des fortifications de Paris, par certaines manœuvres d’eau — De la nécessité des machines hydrauliques à l’aide desquelles on opérerait ces manœuvres, pour assainir les fossés de l’enceinte ; de leur immense utilité comme moyen de donner de la valeur à de vastes étendues de terrain, aujourd’hui presque improductives. — Des approvisionnements en grains
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CHAPITRE VIII. — Les dépenses exigées par les fortifications ne sont-elles pas supérieures aux résultats qu’on en peut attendre ?
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CHAPITRE IX. — Des fortifications de campagne, des fortifications non revêtues en maçonnerie, eussent-elles été suffisantes ?
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CHAPITRE X. — L’enceinte continue était préférable à la ceinture de forts détachés considérée isolément, ou à la combinaison de l’enceinte et des forts qui a été adoptée
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CHAPITRE XI. — Le but de la fortification de Paris exclut les forts détachés ; il ne saurait être atteint sans l’enceinte continue
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CHAPITRE XII. — L’ennemi peut passer entre les forts détachés
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CHAPITRE XIII. — Les forts isolés, à raison de leur petitesse, ne peuvent pas être susceptibles d’une longue résistance
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CHAPITRE XIV. — Les forts détachés examinés par leur côté politique. — Est-il vrai que les gouvernements n’aient jamais regardé les citadelles comme des moyens de maîtriser, d’opprimer les populations ? — Histoire da la marche suivie dans l’établissement des fortifications de Paris
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CHAPITRE XV. — Les forts détachés doivent-ils inquiéter la population ? Ne pourraient-ils pas devenir aux mains des factions ou des ennemis de terribles moyens d’oppression ?
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