soir, au travers de quelques éclaircies. M. Coldstream estime qu’il y avait aussi un arc large et très-lumineux à 25° du zénith vers le sud (Edinb. Journ. of science, tome v, page 190). Variation à Paris, 9’ 31".
Le 16 janvier, une aurore boréale est signalée à Leith, entre une heure et deux heures du matin (Edinb journ. of sci., tome v, p. 190). À Paris, l’amplitude de la variation s’élève à 14’ 2".
Le 11 février on indique une aurore boréale à Leith, dans la soirée (Edinb journ. of sci., tome v).
Ne serait-ce pas plutôt le 10 que l’aurore se montra ?
Les oscillations de ma boussole de déclinaison ont été fréquentes, et l’amplitude totale de la variation s’est élevée à 7’11/. Le lendemain 11, la variation n’a été que 4’ 41".
29 mars. On a vu plus haut les détails que Dalton m’a donnés sur l’aurore boréale de ce jour. À Paris, la variation s’est élevée à 29’.
Le 9 janvier, M. Marshal a vu à Kendal, en Angleterre, une brillante aurore boréale.
Le 9 janvier, la marche de l’aiguille des variations diurnes, à Paris, fut très-irrégulière. Déjà, à deux heures après midi, la pointe nord était plus occidentale qu’à l’ordinaire, de 4’ 1/2 ; la déviation se maintint dans le même sens jusqu’à sept heures et demie ; mais à onze heures cinq minutes la déclinaison était, au contraire, de 3’ 1/2 plus petite que les jours précédents. La variation diurne s’éleva à 10’ 46",