cré à l’histoire de la découverte des satellites de Jupiter, que les prétentions de l’astronome allemand n’avaient pas de base réelle, et que Galilée, aux yeux de tout homme impartial qui saura se dégager des préjugés nationaux, doit être considéré comme l’unique auteur de cette découverte.
On trouve dans cet ouvrage des observations faites par l'auteur, avec une lunette qui grossissait environ trente fois: sur la constitution physique de la Lune, sur les nébuleuses, la Voie lactée et sur les quatre lunes de Jupiter,
Galilée compare la Lune à la queue d'un paon, à cause de la quantité d'yeux ou de cavités rondes qu'on y remarque; pour expliquer plusieurs phénomènes il a recours à une prétendue atmosphère de la Lune,
Après avoir examiné diverses explications de la lumière cendrée, il s'arrête à celle qu'on a trouvée depuis consignée dans un manuscrit du peintre célèbre Léonard de Vinci.
Il compte 80 étoiles dans le Baudrier d'Orion, où l'œil nu n'en discernait que 7. Les Pléiades, où l'antiquité