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(1838) ; — évaluation de l’irradiation (1839) ; — erreurs causées par l’emploi des lunettes à court foyer (1840) ; — agrandissement des images des étoiles résultant d’un objectif réduit par un diaphragme (1840) ; — observation des étoiles doubles par un miroir mobile (1841) ; — inégalité des formes d’une image circulaire observée successivement par chacun des deux yeux (1844) ; — moyens d’éprouver une grande lunette (1844).

L’importance de toutes les questions si ingénieusement résolues par mon vénéré maître, et qui auraient pu donner lieu à de longs Mémoires de la part de beaucoup de savants, justifiera sans doute le soin que j’ai mis à faire le dépouillement de simples indications éparses dans diverses publications ou dans les procès-verbaux du Bureau des Longitudes ou de l’Académie des sciences.

C’est au même ordre de travaux que se rapportent les deux Notes présentées à l’Académie en 1847 sur l’éclairement des fils des réticules et des micromètres, puis sur la lumière électrique et sur le micromètre oculaire à double réfraction, que j’ai insérées à la suite des précédentes.

Afin d’avoir une histoire complète des travaux et des idées de M. Arago sur ce sujet, il faut d’ailleurs mentionner encore l’analyse critique du Traité de M. Brewster relatif aux instruments, analyse qu’il a publiée en 1814 dans le Bulletin de la Société philomatique, et une autre Note du même Bulletin sur une chambre obscure et un microscope périscopiques. J’ai imprimé ces deux documents aux pages 319 à 334 et 338.

Toutes les Notes que je viens de rappeler prouvent