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pitre ix de la Notice sur les puits forés, chapitre composé de 84 pages, dont quelques parties seulement avaient paru dans les Annales de chimie et de physique ou dans les Comptes rendus de l’Académie des sciences.

Les températures déterminées se classent sous trois titres principaux : températures des mines, températures des sources thermales, températures des puits artésiens. Une grande partie des observations relatives aux sources thermales ont été faites en 1826 par M. Arago lui-même, pendant un voyage dans le midi de la France ; elles étaient consignées dans un carnet de voyage, d’où j’ai dû les extraire. Deux paragraphes particuliers sont aussi consacrés à l’étude des températures de la couche la plus voisine de la surface et de celles des sources, des ruisseaux et des rivières. Quelques-unes des déterminations faites dans les puits forés ont été publiées dans les Comptes rendus de l’Académie.

Après le chapitre sur la température de l’intérieur du globe, je dois signaler encore d’une manière particulière celui relatif à l’histoire complète et détaillée du forage du puits de Grenelle (48 pages), histoire qui a été écrite en quelque sorte jour par jour et qui est accompagnée d’une coupe des terrains rencontrés par la sonde. Le chapitre relatif aux puits artésiens de l’Algérie a été dicté en 1852.

Je n’ai pas à revenir sur ce que j’ai dit précédemment des deux rapports de M. Arago, insérés après la Notice sur les puits forés ; l’un de 1835, relatif aux machines de M. Juncker, pour l’élévation de l’eau des mines,