tobre 1839, le premier volume des Transactions d’une Société dont les travaux semblent devoir exercer une heureuse influence sur les progrès de l’art des ingénieurs, j’ai dù exprimer le regret d’y avoir trouve le Mémoire de M. l’arey qui ne méritait certainement pas de figurer dans un si utile recueil, attendu que les observations acerbes qu’un y rencontre contre notre travail commun, entrepris par ordre de l’Académie et honoré de son approbation, n’ont pas le moindre l’ondement. Peu de temps avant sa mort SJ. Dulong eut connaissance du Mémoire de M, Fiiri’y. Il en fut vivement blesse* et se proposait de le réfuter. Ce que mon illustre ami n’a pu faire, j’ni dît le tenter. La tache, au reste, était peu difficile : il m’a suffi d’opposer guillemets à guillemets.
Voici les passages les plus importants que je dois relever diins le Mémoire de M. l’arey
« Lo principal objet do la présente communication est de montrer la coïncidence qui existe entre l’échelle de 11. Southern (pour les forces Mastiques de la vapeur d’eau correspondantes aux divers d « fïi-es du thermomètre) et celle qu’on déduit d’une nouvelle sério d’expériences faites à Paris eu 1829, par un comité de l’Académie des sciences.
« In autre objet do cette communication est d’insérer, dans les Mémoires de cette institution, un témoignage des droits évidents do notre compatriote’, M. Suutliern, au mérite de la priorité dans la détermination exacte de cette loi, en opposition avec l’assertion sans fondement do l’auteur français’qui a publié les nouvelles expériences, et suivant laquelle les déterminations obtenues précédemment en Angleterre, étaient inexactes. Les déterminations de M. Southern ne sont pas mentionnées dans cette condamnation générale.
̃> A ? i amosnhère », M. Soinhern trouve la température do 293.9 l’ahr.et les académiciens do 293". 7. Ceci n’est pas une coïncidence
