VITESSE DU SON. 5 seul coup sur les douze de Villejuif fut entendu par MM. Gay-Lussac et Bouvard, et encore très-faiblernent. Cette seconde expérience n’ajoutera donc rien, quant à la détermination de la vitesse absolue du son, aux résultats que nous avions obtenus la veille. Nous la rapporterons néanmoins dans tous ses détails, parce qu’elle donnera lieu à quelques remarques d’un autre genre. M. Rioussec, horloger distingué de Paris, étant venu le 22 juin, essayer le chronographe à cadran mobile qu’il a imaginé (voir les Annales de chimie et de physique, t. xvin, p. 391), nous avons inséré dans la table suivante les déterminations que son ingénieux instrument lui a fournies. Tableau des coups correspondants obserrfs d ~ilontllaér~ et à Pillejuif le vendredi î juin < 822. semo.. MaXtmttt* temps Th.tmo- OjtTO- Bero. "oKTi"enT> R y. J2L vz- xz prop4g4tio~ mètre. metre- I.dl"" <lh30n> I Ihmitwldt j mlll. coup do ( IM..I Oay-Lussae 5H.3 3(«.5 +(6’5 59» 7il.J ( Bouvard ) M0» HumtuldL W.»l 1 b.5 j Cay-tosae > M .0 H M S» 7354 ( Bouvard SS .0 ) llhom r MuiDboldl 113 .9 l .9 je 14 59 733.6 O.j J fiay-l.ossac 53 .9 40 4 59 733.0 r Bouvanl • ) «>> 10» ( lluiubolJt I t kit > G>y-I.nss>< ; B» .5 > 54 .8 46 & 59 735.S ( llouvard M .7 ) b son MluiDlnldl »k.5 { Gty.Laagas 151.3 M .« 404 69 1K.0 f Uonvard ) |l>30<» i llumboldl
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