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ET SUR DIVERS CONTEURS ITALIENS.


38. Dove che’l dente duol la lingua tragge.

Ce récit se rapporte encore à l’inconduite des ecclésiastiques. La naïveté d’un enfant fait découvrir les torts d’une femme. L’historiette rappelle là vingt-troisième des Cent nouvelles nouvelles (La Procureuse passe la raie).


39. Ciascun si ajuta coi suoi ferrizuoli.

Histoire qui ne comporte pas d’analyse.


40. Per via si concia soma.

Nouveau tableau des désordres des moines ; quelques anecdotes nullement piquantes.


41. L’occhio vuol la sua parte.

Longue paraphrase d’un trait qui est dans Pogge (t. I, p. 13), Jus parochi, et qui a été mis en vers latins par un anonyme (t. II, p. 5) ; sujet trop libre pour que nous nous y arrêtions davantage.


42. Ciascun tira l’acqua al suo molino.

Récit relatif à l’avidité des Récollets de Venise ; intérêt purement local.


43. La necessità non ha leggi.

Débat entre le bonnet et la tête, qui se font mutuellement des reproches ; mélange de platitudes et de pensées assez fines.


44. Fuge rumores.

Un étudiant, qui n’a pas appris grand’chose, échappe à l’examen auquel son père veut qu’il