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ET SUR DIVERS CONTEURS ITALIENS.

huit Nouvelles que contient ce volume ont été reproduites par Baudry.

Giovanni Fiorentino. Il Pecorone, 1558. Une analyse de ce recueil se trouve dans la Bibliothèque des romans, septembre 1777, p. 91 à 161. Une Nouvelle est traduite dans la Revue des Deux-Mondes, t. VII. Les Nouvelles 1 à 13 sont insérées dans le recueil de Baudry. Roscoe en a traduit cinq dans ses Italian Novelists. (Londres, 1824, 4 vol. in-8.)

Giraldi Cintio. Ecatommiti, 1565. Le Novellerio de 1754 a reproduit cinq de ces Nouvelles (Nov. 5 et 9 de la décade I ; Nov. 2 de la décade II ; Nov. 8 et 9 de la décade VII). Les quinze premières Nouvelles se trouvent dans le volume de Baudry.

Granucci (Niccolo). L’Eremita, 1569. Une de ces Nouvelles, Ortensia e Polidoro, se retrouve dans le Novelliero de 1754 (t. IV, p. 61).

Lasca (A. F. Grazzini). La Prima e la Seconda Cena. Quatre Nouvelles (1, 4, 6 et 9) dans le Novelliero de 1754 ; les neuf premières dans le recueil de Baudry. Voir, au sujet de ces contes, Ginguené, t. VIII. Un d’eux, Messer Falananna, est traduit dans la Revue de Paris, t. XXIX (1830). Le tome III de la Raccolta di novelle (Milano, 1804) est composé de vingt et une nouvelles de Grazzini.

Malespini (Celio). Ducento Novelle, 1609. Nous retrouvons six de ces Nouvelles (41, 57 et 96 de la première partie ; 11, 50 et 61 de la seconde) dans le Novelliero de 1754. On découvre