de Médicis, etc.), et, le 16 août 1537, il écrivait qu’il faisait imprimer un libro di lettere qu’il offrirait au vice-roi (de Naples).
Plusieurs ouvrages portent à leur frontispice le nom de l’Arétin. L’Arétin moderne, de Dulaurens (Rome (Amsterdam), 1, 763, 2 vol. in-12, 11708, 1793), est un livre satirique, indévot, mais point obscène ; nous n’en dirons pas autant de l’Arétin moderne en estampes, ou les Récréations des p…ns, et l’Arétin français, par un membre de l’Académie des dames : Londres, 1787, in-12, 18 figures ; sans date, in-18, 19 figures, et in-32, 20 figures ; Bruxelles (Paris), %1830, in-12, 19 figures.
L’Arétin d’Augustin Carrache, in-4o (vers l798), est accompagné d’un texte écrit par Croze — Magnan, et où se trouvent de nombreuses citations empruntées à des poëtes latins. On n’ignore pas que ce texte a été réimprimé plus d’une fois sous le titre d’Amours des Dieux payens ; ces éditions en petit format contiennent les mômes figures que l’in-4o, mais réduites, et ce ne sont pas toujours des dieux païens qui figurent dans ces groupes. On y voit Achille et Briséis, Ovide et Julie, Messaline et un athlète, Antoine et Cléopâtre. On a gravé en Allemagne, in-4o oblong, une partie de ces mêmes figures, en changeant les noms des personnages, et en y substituant des noms connus par les chefs-d’œuvre du théâtre germanique : par exemple, don Carlos et la princesse d’Eboli. Pierre jArétin n’est absolument pour rien dans ces