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comme il me disoit adieu, il mania mes tettons et me caressa avec beaucoup de douceur ; je le caressai aussi je pris à ma main son instrument que je trouvai fort mou. Cependant il commença d’abord à se roidir et à devenir gros, de sorte qu’il me dit en m’entraînant doucement sur la chaise : Ma chère enfant, ne perdons pas le moment qui nous reste. Il s’assit et me fit asseoir sur lui à nud, tournée par derrière, et comme cela me tenant embrassée, il me le fit une troisième fois. Il vint encore durant plusieurs jours de suite, et toujours il me baisoit de la manière qui lui venoit dans la tête. Quelquefois il me faisoit asseoir sur lui, mes deux jambes sur la cuisse droite, et avec sa main gauche il me tenoit embrassée par le côté, et de la main droite il soutenoit ma cuisse gauche ; en cette posture il me le faisoit entrer : je voyois bien pourtant que cette posture lui étoit incommode ; et que je lui devais trop peser. D’autres fois, il me faisoit asseoir sur la chaise, et lui, se tenant debout, il se mettoit entre mes cuisses, et me le faisoit de la façon que ma sœur m’avoit montrée. De cette manière, je goûtais beaucoup plus de plaisir qu’autrement : aussi revint-il à cette posture, et toujours, je haussois mes jambes sur ses côtés, et en appuyant mes talons à ses fesses, il entroit plus avant qu’il n’avait jamais fait. Il s’avisa, une autre fois qu’il me baisoit en cette posture, de prendre avec son bras droit une de mes cuisses et la remuoit selon qu’il poussoit. Un autre jour, il mit une de mes cuisses à chaque bras, et après m’avoir baisée ainsi deux fois de cette manière, et qu’il