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INTRODUCTION





A Albert Tournier.


Vous me demandez, mon cher Tournier, pourquoi, en tête d’un recueil de contes plutôt joyeux, j’inscris, comme titre, le refrain, à tort ou à raison devenu populaire, d’une des innombrables chansons de marche ingénument chantées en 1870 par les compagnies de soldats paysans.