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VII

mademoiselle cyprienne et mademoiselle brin-de-bouleau

Et pourtant, non ! Brin-de-Bouleau n’était pas bête, ou plutôt elle l’était à sa manière, ce qui est une façon d’avoir de l’esprit.

Un matin, dans l’atelier où Fabien étudiait, on avait vu entrer une assez jolie fille, mais si frêle et si blanche, et tout ébouriffée de cheveux blonds, qui venait se proposer pour modèle.

— Mademoiselle pose les bouleaux ? demanda un rapin facétieux.

— Je n’ai jamais essayé ; quoique ça, je les poserai bien tout de même.

L’atelier éclata de rire.

— Ici, mademoiselle, on ne peint que la figure. Mais allez chez M. Corot, il cherche des bouleaux pour son tableau du salon.

— Vous dites : M. Corot ?

Et la jolie fille s’en alla chez M. Corot à qui, gravement, elle raconta son histoire.

Chose qui n’étonnera personne, le bon peintre la