Page:Arène - La gueuse parfumée - récits provençaux, 1907.djvu/22

Cette page n’a pas encore été corrigée
12
LA GUEUSE PARFUMÉE.

chaud qu’il n’aurait fallu ; et quand plus tard, déjà grand, je passais des heures entières à regarder l’eau couler ou à poursuivre des papillons bleus dans les roches : — « Il y a du soleil là-dedans, » disaient les paysans, « il restera ainsi ! » Alors, d’entendre cela, ma mère pleurait, et mon père, se détournant bien vite, feignait de hausser les épaules.