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LE COCHON
La mort de Babylas nous avait attristés, on s’en accusait mutuellement ! et le retour à Paris fut maussade.
Le lendemain, Marine me quittait, cette fois pour toujours, en me laissant ce mot sur la table :
— Décidément j’ai réfléchi ; je crois qu’au moins en fait d’amour la vieille paysanne avait raison.
Brave Babylas ! Pauvre Marine !…