lume. On y trouvera aussi plusieurs nouvelles observations qui me sont survenues dans le courant de l’impression, ou qui m’ont été communiquées depuis, par mon savant ami M. Visconti. Enfin, j’y ai rectifié quelques erreurs qui m’avoient échappé, ce qui étoit impossible à éviter dans un ouvrage de la nature de celui-ci. Je n’ose pas me flatter de les avoir toutes relevées, mais je compte sur l’indulgence des lecteurs, et j’espère qu’ils voudront bien excuser celles dont je ne me serois pas aperçu.
La Table des matières est l’ouvrage de M. Jannet, libraire au Palais ; mais je l’ai revue avec le plus grand soin, et j’y ai ajouté beaucoup de détails sur lesquels il avoit passé légèrement pour ne pas la rendre trop volumineuse. J’ai pensé que cette crainte ne devoit pas m’arrêter, et qu’il valoit mieux qu’on pût lui reprocher le trop d’abondance, que le défaut contraire.