Page:Apollinaire - Les Onze mille verges, 1911.djvu/61

Cette page a été validée par deux contributeurs.
43
LES ONZE MILLE VERGES


commença par lui mordiller les nichons qui commençèrent à bander. Puis il descendit jusqu’au con et il le mit entier dans sa bouche tandis qu’il tirait les jolis poils blonds et frisés de la motte. Il se releva et sortit sa pine énorme mais courte dont la tête était violette. Retournant Alexine il se mit à fesser son gros cul rose, de temps en temps il passait sa main dans sa raie culière. Puis il prit la jeune femme sur son bras gauche de façon à ce que son cul fut à portée de la main droite. La gauche la tenait par la barbe du con… ce qui lui faisait mal. Elle se mit à pleurer et ses gémissements augmentèrent lorsque Cornabœux recommença à la fesser à tour de bras. Ses grosses cuisses roses se trémoussaient et le cul frissonnait chaque fois que s’abattait la grosse patte du cambrioleur. À la fin elle essaya de se défendre. De ses petites mains libres elle se mit à griffer sa face barbue. Elle lui tira les poils du visage comme il lui tirait la barbe du con : « Ça va bien », dit Cornabœux et il la retourna.

À ce moment, elle aperçut le spectacle