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LES ONZE MILLE VERGES


Il ramena ses mains sous les fesses d’Alexine qui se crispaient avec une force incroyable, serrant dans le con enflammé l’énorme vit qui pouvait à peine y remuer.

Bientôt l’agitation des trois personnages fut extrême, leur respiration devint haletante. Alexine déchargea trois fois, puis ce fut le tour de Culculine qui descendit aussitôt pour venir mordiller les couilles de Mony. Alexine se mit à crier comme une damnée et elle se tordit comme un serpent lorsque Mony lui lâcha dans le ventre son foutre roumain. Culculine l’arracha aussitôt du trou et sa bouche vint prendre la place du vit pour lapper le sperme qui en coulait à gros bouillons. Alexine, pendant ce temps, avait pris en bouche le vit de Mony qu’elle nettoya proprement en le faisant de nouveau bander.

Une minute après le prince se précipita sur Culculine, mais son vit resta à la porte chatouillant le clitoris. Il tenait dans sa bouche un des tétons de la jeune femme. Alexine les caressait tous les deux. « Mets-le moi, criait Culculine, je n’en peux plus. »