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LES ONZE MILLE VERGES

moment, puis, rouges et essoufflées, elles reprirent leur gougnottage en s’embrassant et se léchant devant le prince penaud et stupéfié. Leurs culs se haussaient en cadence, leurs poils se mêlaient, leurs dents claquaient l’une contre l’autre, les satins de leurs seins fermes et palpitants se froissaient mutuellement. Enfin, tordues et gémissant de volupté, elles se mouillèrent réciproquement tandis que le prince recommençait à bander. Mais les voyant l’une et l’autre si lasses de leur gougnottage, il se tourna vers Mira qui tripotait toujours le vit du vice-consul. Vibescu s’approcha doucement et faisant passer son beau vit dans les grosses fesses de Mira, il l’insinua dans le con entr’ouvert et humide de la jolie fille qui, dès qu’elle eut senti la tête du nœud qui la pénétrait, donna un coup de cul qui fit pénétrer complètement l’engin. Puis, elle continua ses mouvements désordonnés, tandis que d’une main le prince lui branlait le clitoris et que de l’autre il lui chatouillait les nichons.

Son mouvement de va-et-vient dans le