Page:Apollinaire - Les Onze mille verges, 1911.djvu/146

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
128
LES ONZE MILLE VERGES


ment. Lorsqu’il en fut à la jouissance, il prit le sabre et, les dents serrées, sans arrêter le culetage, trancha la tête du petit Chinois dont les derniers spasmes lui procurèrent une grande jouissance tandis que le sang jaillissait de son cou comme l’eau d’une fontaine.

Le général décula ensuite et s’essuya la queue avec son mouchoir. Il nettoya ensuite son sabre et ayant ramassé la tête du petit décollé la présenta à Mony et à Haïdyn qui maintenant avaient changé de position.

La Circassienne chevauchait Mony avec rage. Ses tétons dansaient et son cul se haussait frénétiquement. Les mains de Mony palpaient ces grosses fesses merveilleuses.

— Regardez, dit le général, comme le petit Chinois sourit gentiment.

La tête grimaçait affreusement, mais son aspect redoubla la rage érotique des deux baiseurs qui culetèrent avec beaucoup plus d’ardeur.

Le général lâcha la tête, puis saisissant sa femme par les hanches il lui introduisit son membre dans le cul. La jouissance de Mony