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à Dieu, elle ne portait pas de pantalon comme les dames de la ville qui font les mijaurées quand on leur tripote le con, ce que, d’ailleurs, elles aiment autant, sinon plus que les paysannes. Je me reculai en tenant sa jupe et sa chemise, puis je me rapprochai et promenai mes mains sur son ventre et ses cuisses.

Ensuite, je mis mon nez dans son con qui sentait l’œuf — à cause de sa récente décharge — et la pisse. Comme je portais ma langue sur son clitoris, elle se mit à rire et laissa retomber sa jupe. Mais je la tins fort et continuai à léchotter tout son corps sous ses jupes et cela me faisait bander davantage. Mais comme le bruit recommença, Ursule se dégagea pour de bon.

Je dus m’en aller, mais comme elle se retournait, je soulevai encore une fois ses jupes par-derrière et je mis à nu son vraiment superbe cul, d’une fermeté admirable.

« Encore un peu, Ursule », dis-je en la tenant ferme par la chemise.

Je baisai ses fesses, les maniai, les ouvris et sentis son trou du cul qui n’exhalait aucune odeur de merde, mais seulement celle de la sueur. Mais elle se dégagea définitivement en observant qu’elle ne comprenait pas comment un monsieur comme moi pouvait avoir plaisir à sentir les endroits puants d’un corps de paysanne.

Le soir, à dîner, je demandais bas à Berthe si je ne pourrais pas la baiser. Elle me dit que non. Je montai pour voir si je ne pourrais pas