Page:Apollinaire - Les Exploits d’un jeune Don Juan.djvu/81

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

noirs. Ses aisselles étaient de même couvertes d’un buisson de poils aussi épais que chez les hommes.

En la regardant je m’émerveillai de son cul, dont les fesses très relevées se serraient l’une contre l’autre. Sur l’échine, elle avait de même des poils légers et noirs qui montaient jusqu’au haut du dos. Cette riche toison me fit encore plus bander.

Naturellement, je jetai ma chemise, et me Jetai sur la belle femme qui faisait des mouvements, de façon à ce que mon vit venait taper contre son ventre.

Nous étions placés de telle sorte que nous nous voyions tout entiers dans la glace. Je la menai vers le lit ou elle s’assit en disant : « Je sais que vous voulez me voir tout entière. » Elle souleva les jambes et montra son con poilu jusqu’au cul. J’y mis aussitôt ma langue et m’y attardai. Les lèvres s’enflèrent. Lorsque je voulus y mettre mon vit, elle me dit en riant : « Pas comme ça, mettez-vous sur le lit. »

Je la priai de me dire « tu » et de me le permettre aussi. Je me mis sur le lit. Elle se mit sur moi et j’avais tout son beau corps devant les yeux. Elle me dit de jouer avec ses tétons. Puis elle empoigna ma bitte, la promena un peu contre son con dans lequel elle me supplia de ne pas décharger, puis brusquement elle s’entra mon vit jusqu’aux couilles. Elle chevauchait avec tant d’ardeur que cela m’était presque douloureux.