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cru d’après les renseignements de Berthe, mais assez longs et humides de sueur.

Sa peau était blanche comme du lait et douce comme du satin. Ses blanches cuisses étaient agréablement arrondies et portaient joliment des bas noirs qui renfermaient une paire de mollets fermes et ronds.

Je me jetai sur elle, poussai mon vit entre ses cuisses, pénétrai doucement dans son con, mais j’en ressortis aussitôt. Mes pieds ne trouvaient pas de point d’appui. La position était trop incommode.

Mais Kate, qui maintenant était en chaleur, sauta debout, me poussa sur la chaise, près du lit, et se jeta sur moi. Avant que j’eusse le temps de me reconnaître, mon membre était enfermé dans son con.

Je sentais ses longs poils contre mon ventre. Elle se remuait et me tenait les épaules. À chaque mouvement ses grandes lèvres touchaient mes couilles.

Elle enleva d’elle-même son léger casaquin de percale et me dit de jouer avec ses nichons, parce que ça lui faisait du bien, disait-elle.

Ses tétons étaient naturellement plus développés que ceux de Berthe et plus durs que ceux de la régisseuse, bien qu’ils ne fussent pas de beaucoup aussi gros. Ils étaient aussi blancs que ses cuisses et son ventre et avaient deux grosses pointes rouges, entourées d’une couronne plus jaune sur laquelle étaient de petits poils.