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que ma sœur faisait des efforts, sa fente s’ouvrait tout en haut et l’on voyait la chair rouge. Cela n’avait duré que quelques secondes, le jet cessa et quelques gouttes en tombèrent seules encore.

Alors j’empoignai avec mes deux mains les lèvres de son con et je les écartai. Ceci sembla lui causer beaucoup de plaisir, car sans cela elle n’eût pas tenu sa chemise en l’air avec tant de complaisance.

À la fin, je découvris que sa fente, que l’on pouvait comparer à une moule entrouverte, contenait encore deux lèvres, mais plus petites que celles du dehors.

Celles-ci étaient d’une belle couleur rouge et fermées. En haut, on voyait un petit trou par où elle avait pissé. On voyait aussi un petit bout de chair de la grosseur d’un petit pois. Je le touchai et le trouvai très dur.

Ces attouchements semblaient plaire à ma sœur car elle se tint tranquille, sauf qu’elle poussait un peu le ventre en avant.

Elle devint très excitée et souleva encore sa chemise au-dessus du nombril. Alors je visitai son ventre. Je lui passai les mains partout. Je chatouillai son nombril et mis ma langue autour. Puis je me reculai un peu pour mieux voir.

Alors seulement je vis les jolis poils qui ornaient la motte grasse et triangulaire de Berthe.

À la vérité, il y en avait peu, ils étaient courts,