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vis comment les deux lèvres dont j’avais vu le commencement lorsqu’elle avait les cuisses serrées se continuaient pour se réunir près de son cul.

Pendant son rapide mouvement, elle avait entrouvert sa fente qui, à cette époque, pouvait avoir de sept à huit centimètres de long ; pendant ce temps, j’avais pu voir la chair rouge de l’intérieur, tandis que le reste de son corps était d’une couleur de lait. Il faut excepter cependant l’entrecuisse qui près des lèvres était un peu rouge. Mais cette légère rougeur provenait, sans doute, de la sueur ou de la pisse.

Entre la fin de son con, dont la forme était assez semblable à la fente d’un abricot et entre son cul, se trouvait une distance de quelques doigts. Là se trouvait le troufignon de ma Berthe, qui m’apparut au moment où ma sœur s’étant retournée, elle me tendait le cul. Ce trou n’était pas plus grand que la pointe de mon petit doigt et était d’une couleur plus foncée. Entre les fesses, la peau était légèrement rouge à cause de la sueur que provoquait la chaleur de cette journée.

Ma curiosité avait été si vive, que je n’avais pas pris garde qu’en tombant, ma sœur avait dû se faire beaucoup de mal, mais je m’en aperçus enfin et volai à son secours. Toute cette scène à vrai dire n’avait pas duré une minute. J’aidai Berthe à se relever. Elle vacillait et se plaignait de douleurs à la tête.