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joues. Sa poitrine se soulevait fortement devant le spectacle que nous contemplions sans parler. Je sortis mon vit et le mis dans la main chaude et douce comme du satin. Le couple s’éloigna. Je ne pouvais résister et j’empoignai Élise. Malgré sa résistance, j’eus vite écarté le pantalon et la chemise. Ma main jouait avec ses poils. Ses cuisses étaient serrées, mais je sentais son clitoris dur.

« Non, ça va trop loin, Roger, n’as-tu pas honte ! Je crie !

— Si tu cries, on entendra du Château… Personne ne peut le savoir. Les premiers hommes n’ont pas fait autre chose.

— Mais nous ne sommes pas les premiers hommes, Roger.

— Élise, si nous étions sur une île !… »

J’étais arrivé à entrer mon doigt.

« Si mon Frédéric savait ça !

— Il ne le saura pas, viens ma chérie. »

Je m’assis sur une chaise et tirai ma sœur sur moi. Quand elle sentit l’énorme vit contre son con elle ne résista plus. Elle n’était plus pucelle et avoua l’avoir fait une fois avec son Frédéric. Son con était étroit, très chaud et agréablement humide.

Elle me rendit mes baisers. J’ouvris sa blouse et sortis ses deux tétons qui allaient et venaient tandis que je les suçais. Je mis mes bras à ses dures et grosses boules inférieures, ses deux fesses magnifiques. Elle se mit à jouir terri-