on peint seulement les réverbères avec une couleur bronzée, et l’opération revient à 3 francs environ.
Les plus hauts et les plus grands réverbères, ce sont ceux du modèle dit des boulevards. Voici encore les consoles qui servent aux angles et dans les rues à trottoirs étroits.
Mais on peut regretter que la Ville n’ait pas conservé, dans son dépôt, au lieu de les vendre, un spécimen au moins de chaque appareil d’éclairage.
Il y en a bien quelques-uns à Carnavalet, mais si peu, et quelques photographies de certains modèles se trouvent encore à la Bibliothèque Lepelletier de Saint-Fargeau.
En été, une visite au musée de l’éclairage n’est pas recommandable. Il n’y a pas plus d’ombrage, dans ce bocage métallique, que dans une forêt australienne.
Mais, il y a de l’ombre sur la petite place.
C’est là, sur un banc, situé devant la