1 volume in-8o de 140 pages.
La première édition (Poulet-Malassis, 1868) a été condamnée à la destruction par jugement du Tribunal correctionnel de Lille, du 6 mai 1868, inséré au Moniteur du 19 septembre suivant (Affaire contre Duquesne).
Ce petit roman épistolaire et libertin a été attribué à Gustave Droz. On assure, d’autre part, que cette correspondance véritable aurait été apportée à Poulet-Malassis qui la mit au point, retranchant beaucoup de lettres, modifiant des passages. On affirme aussi que ces lettres auraient été forgées par une femme, mais nous avons de la peine à le croire et nous pensons qu’elles sont l’œuvre d’un homme. C’est, en tout cas, un ouvrage spirituel, sans grossièreté et d’une audace qui n’a rien de choquant. Car pour tout ce qui touche au libertinage, il reste ici fort au-dessous de ce que l’on trouve dans des ouvrages modernes, à succès, et publiés au grand jour. L’attribution à Gustave Droz pourrait bien être la plus fondée.
1 volume petit in-12. Sur papier d’Arches. Tirage à 505 exemplaires numérotés (1911).
Voir 64 (avec notre notice), 253, 254, 255, 547 et 823, pour Parapilla, et 34, 541 (avec notre notice), 542, 543, 544, 545, 546, 548 et 823, pour la Foutromanie.
1 volume in-8 de 48 pages, couv. imprimée. Tiré à 100 exemplaires (no 96). — Acquisition, no 017685.