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Suivi de (au f. 35 n. ch.) : Dialogues de l’Aretin, ou sont desduites les Vies, mœurs et desportemens de Laïs et Lamia, Courtisanes de Rome, traduit d’italien en françois (voir 767), et de (au f. 95) : La Maqverelle ou Vieille Covrtisane de Rome (en vers) (par Joachim du Bellay), pièce qui commence ainsi :


Bien que du mal du quel ie suis atteinte
Soit désormais tardive la Complainte
Et qu’on ne doive imputer à raison
Le repentir qui vient hors de saison…


767. — Dialogue de l’Aretin, où sont desduites les vies, mœurs et déportemens de Lais et Lamia, courtisanes de Rome, traduit d’italien en françois, Paris, M. DC. XI.

1 volume in-12 (Peut-être de Cologne).

Voir 766.


768. — Le Sérail de Delys, ou Parodie de la Tragédie d’Alcibiade, petite comédie en vers, par M***. A Cologne, chez Pierre Marteau, imprimeur et libraire, à la Vérité, MDCCXXXV.

In-8 de 16 pages.

Comédie fort médiocre.


769. — Prognostication des cons sauvages.

1 volume petit in-8 de 24 pages. Avec 1 gravure libre (xvie siècle). La page de titre manque.


Sommaire :

1. — Prognostication des Cons sauvages (en vers).

2. — Cy-après ensuyt la Chanson.

3. — La Source du gros Fessier des Nourrices, et la raison pourquoy elles sont si fendues entre les jambes. Avec la complainte de Monsieur le Cul contre les Inventeurs des Vertugalles.

— Ici, au milieu de cette page de titre, la gravure représentant