C’est une imitation du dialogue en prose faussement attribué à l’Arétin.
Un ouvrage intitulé la Puttana Errante, ou Dialogues de Madeleine et de Julie, a été condamné à la destruction par un jugement du Tribunal correctionnel de la Seine (2e Chambre), en date du 25 février 1876.
Voir, pour le texte italien et différentes traductions ou adaptations en français : 89, 156, 220, 559 et 560 et 753.
1 volume in-12 de 50 pages. Avec 4 figures libres (Paris, Mercier).
Amusante parodie, très bien écrite, mais très obscène, et dont la destruction a été ordonnée, comme outrageant les bonnes mœurs, par arrêt de la Cour royale de Paris, du 16 novembre 1822, inséré au Moniteur du 26 mars 1825 (Affaire contre Rousseau).
1 volume in-18 de 72 pages, liminaires compris, broché bleu. Avec 7 planches libres, contenant les 40 « postures », (il y en a 41 décrites en prose) et une gravure libre pour le conte : Les Œufs frais.
Recueil de « Postures », suivi de plusieurs contes en vers. On y trouve entre autres cette épitaphe de Gervais (Gervaise de Latouche), auteur du Portier des Chartreux :
Des bougres, des fouteurs, il écrivit l’histoire.
Sa plume fut son vit,
Ses couillons son esprit,
Le foutre son génie, un con son écritoire.