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lord Arsouille[1], qui parut avant lui, mais une copie manuscrite de Hic et Hec a pu fort bien tomber entre ses mains.

Voir 671-672.


671-672. — Hic-et-Hec, ou L’art de varier les plaisirs de l’amour et de la volupté, enseigné par les R. P. Jésuites et leurs élèves. Douze gravures. Tome premier [second]. — Londres, chez tous les marchands de nouveautés, MDCCCXV.

2 volumes in-16. Avec 7 gravures libres coloriées au tome Ier, et 1 frontispice et 3 gravures libres, en noir, au tome second. Manque une gravure, sans doute le frontispice du 1er  volume.

Voir 669-670.

Il y a eu plusieurs autres réimpressions de cet ouvrage.

Celle de 1863 paraît être visée par le jugement du Tribunal de Lille du 6 mai 1868, inséré au Moniteur du 19 septembre 1868, condamnant à la destruction pour outrages à la morale publique et religieuse ainsi qu’aux bonnes mœurs l’ouvrage intitulé : Hic et hœc.

Ce même ouvrage avait aussi été condamné à la destruction par arrêt de la Cour royale de Paris, en date du 7 mars 1830, confirmé par un jugement du Tribunal correctionnel de la Seine, du 7 janvier précédent (Affaire contre Therry, libraire à Paris). Point d’insertion au Moniteur.


673. — Histoire de Mademoiselle Brion, dite Comtesse de Launay. — Imprimée aux dépens de la Société des Filles du bon ton, MDCCLIV.

1 volume in-8 de 137 pages. Titre en rouge et noir. Avec un frontispice et 3 gravures libres très bien dessinées.

Relié avec le 674.

Voir une réimpression à 678.

Voir aussi ; La Nouvelle Académie des Dames, 675, 676, 677.

  1. Voir 68, Mylord ou les bamboches d’un gentleman.