Le Débauché Converti et les pièces les plus libres de Robbé ne sont pas dans ce recueil.
Castum esse decet… Poëtam
Ipsum, versiculos nihil necesse est.
Catull.
1 volume petit in-8 de 52 pages plus 1 f. n. ch. de table. Relié avec le 499. Demi-reliure empire veau vert, plats marbrés, tranches jaspées.
Voici ce que dit, à propos de ce Recueil, M. Ad. Van Bever (Contes et Conteurs gaillards du XVIIIe, siècle, Paris, Daragon, 1906) :
« Attribué successivement à l’abbé de la Marre, poète famélique auquel on doit l’Ennui d’un quart d’heure (Paris, Rollin, 1736, in-8o), et, sur l’opinion de Viollet le Duc, à Félix Nogaret, ce recueil qui s’ouvre sur une pièce de L. Sabatier de Castres : Conte qui n’en est pas un[1], n’en demeure pas moins anonyme. C’est une débauche… qui semble refuser toute paternité poétique… Cet ouvrage fut réimprimé de nos jours à Bruxelles, pour Henry Kistemaeckers (1882, in-8o). Il contient une quinzaine de contes dont le ton libertin nargue et désarme toute pudeur. »
1 volume petit in-8 de 140 p.
Relié avec le 498, et ne se trouvant à l’Enfer que pour cette raison.
- ↑ C’est l’attribution de cette pièce, réimprimée sous la signature de Sabatier de Castres dans les Etrennes du Parnasse (Paris, Fetil, 1782), et ensuite anonymement dans les Contes Théologiques, qui a permis sans doute à certains bibliographes d’affirmer que L. Sabatier de Castres est l’« auteur des Quarts d’heures d’un joyeux solitaire ».