Page:Anthologie hospitalière et latinesque, tome 2, 1913.djvu/382

Le texte de cette page n’a pas pu être entièrement corrigé, à cause d’un problème décrit en page de discussion.

—382— Ma main, mon il 56rpt if 80CôfsuoT Trouvoient toujours.gg mopyelles heztés eV Toujours je fé, saxo lus hellphasstharmente : Tu pressois RAA fa BSSRS-AEISSANLET Enchaîné daps,kes PtasAPBHYG NOIR FRET Je suivois de ton sedsmaumqnhattens Une douce RUE AU SAT AGO Tu m’accabloisde 185 haisens 6m el de. fanme... O nuit, charmante gyitJLQ se gpsants Hapsports | Eglée, tu méprisgis SAN ANTIQUE SÉUHTÈEb nor Ce fantôme d’honneur, cate ;prarte sÉNRTA 17 Nos corps entrélag és A amant RH 3m Corps ; Sans voix, sans MONA Se RASE Six, Sous le poids deb l’amouciel tstsentais RÉ : Des sons entrecoupés SANEI t.nos plaisnss, Eglée, tu répondois par détente Fonirs Rois des cieux, xokEe sr S9lqubls RERO Heureux par ngskansagrtr, sglandys upleps l’autre Nous goûtions ypJbpngeur afp aasérag ater Dieux. Nous faisons rail, dune sauçe décent Un torrent de plaisgs cf negat amas o.| Ce jus divin, pg5 ABLE he ROBE z--eie M Enfin j’étoisansampleslem HBPUXSS suQ ER toutà coup l’odieuse lumière, Eds tristeÉrayons entr’ouvrant ma paupière, Du plus heureux mortel fit le-plus malheureux. ENVOI : ñf PU SE Fais-moi passer, init e beauté, De mo pan tone. la TE Liun s399 eloyo1o 9 uoms nom 5b 255xs"l 1svuo1q si S5lg :1 +784) ...iuoiot s1bast eulq ub leslèd 2ioysq sm uT | sgnossom-s[dsèrg À Laosull : sinsmisdo