Page:Antée, revue mensuelle de littérature, 1906-06.djvu/743

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
NOTES
725

et agences de coupures, collabore à maints quotidiens ; malgré cela, comme vous et moi, il est âgé de 25 ans et se couche volontiers très tard.

Notre collaborateur M. Louis Piérard vient de rééditer à l'Université populaire de Saint-Gilles une conférence faite à Mons l’an dernier et consacrée au théâtre non-joué, aux œuvres des Claudel, des Gide, Faramond, Van Lerberghe, Vielé-Griffin, Jammes, Samain, etc.

Il parlera sous peu à la Fédération post-scolaire de Saint-Gilles de l’état actuel de la poésie française.

Accusés de réception : Adolphe Retté : Poésies 1897-1906 ; Pierre Valdagne : Touti ; Fernand Vandérem : La victime ; Paul Reboux : Vient de paraître ; Charles Guéret : Les heures fleuries ; À la belle étoile ; Albert Erlande : Les Hommages Divines ; Émile Henriot : Poèmes à Sylvie ; Émile Verhaeren : La Multiple splendeur ; John-Antoine Nau : La Gennia ; Théo­dore Cahu et A. Pagès : Les Effondrés ; Henri de Régnier : Sites et Paysages ; Maurice des Ombiaux : Les farces de Sambre et Meuse ; Albert Renard : Petit Lourdes ; Émile Godefroy : Critique de la perfection ; Anatole Feugère : Lamennais avant l'essai sur l'indifférence ; Gauthier-Ferrières : Gérard de Nerval ; Charles-Louis Philippe : Croquignole ; Eugène Montfort : La Turque ; Pierre Louys : Les Aventures du roi Pausole ; André Nepveu : L’étape nécessaire ; Pierre Ulric : Aux domaines incertains ; Jean Martineau : La chanson de la mer ; Marcel Roland : Prosper Batignat homme de lettres ; Paul Claudel : Partage de midi ; Jules Delacre : Les Roses blanches ; Paul Drouot : La Chanson d’Eliacin.

Crossoptylon.