à ces jeux. Nous conçûmes le projet de la détacher du reste de Paris.
Au fond cette ville est la seule dans laquelle on puisse “ s’enraciner ” et se faire une âme de provincial. Chaque quartier y vit d’une vie indépendante, et le bon habitant ne tarde pas à être connu et considéré. N’importe où qu’on y aille, on rencontre le souvenir des hommes et des événements qui ont le plus contribué à la formation de nos institutions, de nos lois, de notre sensibilité. Le traditionalisme ne florit plus que là.
Reçu : Vers et Prose. — Mercure de France. — Ermitage. — Psyché. — Le Feu. — Poésie. — Wallonia. — Le Courrier Européen. — Le Cri de Paris. — Durendal. — En Art. —Revue des Poètes. — Feuillets littéraires. — L’Art Moderne. — La Jeune Wallonie. — Revue des Flandres. — Le Mercure musical. — La Jeunesse laïque. — L’Action française. — L’Eveil. — Le Tout-Liège. — Le Messager d’Alsace-Lorraine. — La Fédération artistique. — Revue bibliographique belge. — La Verveine. — La Gazette de Spa. — La Terre. — La Vie Normale. — La Provence. — Les Cahiers de l’Université populaire. — La Belgique artistique et littéraire. — Le Carillon. — Le Glaneur. — Le Monde Illustré.
