Les petits poètes sont par vocation les êtres sans vocation. Ici la laideur montre la face visible de l’inutilité. Les petits poètes sont indignes de vivre. Ô les plus laids des hommes.
Ce sera un noble jour sous le soleil, celui où l’on mènera, pour le feu de la Saint-Jean, ces contrefaits à la Roche des Apothètes. Si le prêtre du sacrifice fait défaut, je serai là.
Le mal est la voie de toute chair ; car la mort est la fin de toute chair.
À l’origine, le péché. C’est le charme de la chair : le péché est la vie. Et la mort châtie.
Qui a vécu et n’est pas mort ? — Qui n’a pas été puni ?
Fuge ! fuis : c’est le dernier mot du Cantique des Cantiques, la flèche suprême de l’archer au cœur de nos délires.
Fuis ! Le mot le plus profond qui jamais ait été dit sur l’amour de l’homme pour la femme, le danger de la chair, le péril de l’âme et la passion.