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JOURNAL DES LIVRES

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par Xavier de Reul, Sous le fardeau par J.H .Rosny, Le roi sans couronne par Saint Georges de Bouhelier, Fehl Jasmin par Albert Erlande et Gilbert de Voisins, Pensée des Jardins et L'Église habillée de feuilles par Francis Jammes. Je voudrais aussi parler dans un article spécial de tous ces poètes courageux, exquis ou banals ou absurdes, qui réunirent sous un titre, adéquat ou claironnant ou par-désespoir-de-mieux, leurs vers de l’année. Il n’y a rien que j’aime autant qu’un poète, même quand ses vers sont mauvais. Des conteurs ou romanciers j’aurai peu de chose à dire. En prose trois ou quatre volumes nous intéressant, seulement, nous parvinrent. Nous reçûmes des romans comme l'Autre justice de M. G. Voos de Ghistelles, Cliquetis et froufrous de M. Guy-Gaston de Mauroy, les Aventures d’An­selme Ledoux, maréchal des logis, par M. Morisseaux, qu’on ne lit pas, avouons le, qu’en feuilletant on reconnaît faire partie de cette industrie littéraire, que M. Maurice de Noisay caractérise si intelli­gemment dans son étude de Psyché, écrits pour les soirées des loges de concierges, égarés parmi la littérature proprement dite, et dont on ne saurait rendre compte qu’en tâchant d’égayer ses lecteurs par l’exposé de leur sujet. Des essais, excellents ou exécrables, furent également déposés par erreur