plus secrètes où les nymphes désormais, élevant un chant dans l’ombre, s’en iront se baigner.
Les sources ?
Je pars, couronné de roses, pour ma dernière initiation. Tu me précéderas, Pan, sur cette route.
Et toi, mon bien-aimé, approche.
La nature que je vais chercher n’est pas celle, tu le sais, dont on a faussement soutenu la bonté. Elle est à proprement parler, non pas davantage le contraire de la nature, mais son homéopathie : je cultiverai la nature en elle-même comme j’ai cultivé son abstention. Tu resteras ici. Ô frère ! Je te garde loin de ma solitude, pour que tu me sois la Gloire. Par toi, plus importante peut-être que la diffusion de ma doctrine, la lumière sur le héros. Qu’on lui sache gré de savoir être, plus encore que de savoir penser. Donne-moi cette couronne. Qu’en elle je possède la rançon de mon infirmité, qu’elle me rachète de mon imperfection.